La composante femme du bureau de coordination de la société civile exige l’arrêt de l’utilisation des viols et violences contre les femmes comme arme de guerre dans l’agression qui sévit dans l’EST de la RDC. Elle le dit dans un point de presse tenu ce 13 février 2025 au bureau de coordination de la société civile.
Cette composante dénonce plus de 12 cas de viols contre des filles de moins de 18 ans dans la province du Sud-Kivu. Elle dit que ces cas interviennent dans l’intervalle de janvier à février 2025.
Les femmes de la société civile déplorent aussi le fait de tirer des balles sur une jeune fille qui a refusé de se faire violer par des militaires incontrôlés. La victime suit actuellement des soins dans une structure sanitaire de la place.
Elles appellent les parties impliquées dans le conflit à arrêter cet activisme militaire. Elles expliquent que ces combats rendent les femmes et les jeunes filles victimes de plusieurs violences dans l’Est du pays.
Les femmes de la composante plaident pour la prise en charge globale des victimes de ces actes de barbarie qui violent le droit international humanitaire.
suivez Anne MUSHIGO, vice modératrice de la composante dans cet élément:
La composante femme de la société civile appelle la communauté internationale à se saisir de ces crimes et à agir pour que ces actes cessent dans l’Est de la RDC.
Par MAISHA VITAL
