Des travaux forcés, trafic d’organes humains, l’exploitation des enfants, les mariages forcés et précoces et d’autres déviations. C’est entre autres formes d’esclavage moderne listées par Sylvie Nabintu, chercheuse au centre Angaza Institute. Elle le dit en marge de la journée internationale de l’abolition d’esclavage célébrée chaque 2 décembre de l’année.
Elle note que ces formes sont vécues dans nos communautés et que malheureusement ces actes sont méconnus. Sylvie Nabintu sensibilise la communauté à la lutte contre toutes formes d’esclavage moderne qui enfreignent les droits de la personne humaine.
Elle plaide pour la mise en vigueur des textes règlementaires dans le secteur de l’emploi ainsi que la protection des enfants face aux formes d’esclave dont ils sont victimes.
Notons que cette journée vise à vulgariser et sensibiliser l’opinion sur les graves violations des libertés individuelles en particulier le trafic des enfants et des femmes ; développer et partager la réflexion sur la nécessaire mobilisation de tous les secteurs de la société pour combattre l’esclavage moderne.
Par Adaman BINJA