Vulgariser et informer les parties prenantes sur le fonctionnement de la plateforme nationale sur la Biodiversité et services écosystémiques de la République Démocratique du Congo. C’est entre autres objectifs de l’atelier organisé depuis ce 12 novembre par le ministère de l’environnement et ses partenaires à Bukavu. Cet atelier de deux jours réunit des acteurs d’institutions publiques, des chercheurs, des membres d’organisations de la société Civile et ONG de protection de l’environnement.
Daniel Mukubi, chef de division à la direction de développement durable du ministère national de l’environnement, montre que le Cadre mondial de la biodiversité Kunming Montréal prône le travail en synergie pour proposer des solutions aux problèmes écosystémiques qui se posent dans leurs entités.
Il montre que dans cet atelier, les participants doivent être capables de partager les données scientifiques pour éclairer la décision politique au sujet de la gestion de la biodiversité. Cela, selon lui, permettra de rendre durable et viable cette gestion au profit des communautés.
Il explique que les données des recherches seront désormais capitalisées par les autorités du secteur de l’environnement. Daniel MUKUBI montre que cela passera par la plateforme nationale sur la Biodiversité et les services Ecosystémiques de la RDC dont la mission est de collecter les données récentes sur la biodiversité au pays.
L’activité qui se clôture ce mercredi 13 novembre 2024 à Bukavu est appuyé par l’ONG juriste pour l’environnement au congo. Elle se tient en collaboration entre le ministère de l’environnement et l’Université de Lubumbashi.
Par Floribert SAFARI
